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mercredi 9 mai 2012

LA FILLE LAIDE


Yves Thériault, La Fille laide, Montréal (1re édition : 1950)

Édith, la fille laide venue de la plaine, et Fabien, un bel homme au début de la trentaine, ont été engagés par la veuve Bernadette Loubron pour la seconder sur sa ferme. Cette veuve, encore belle et désirable, reluque Fabian, qui n'a de yeux que pour la fille laide. Celle-ci, qui traine un lourd passé de maltraitance et d'humiliations, ne peut croire aux sentiments de Fabien. Harcelé par la veuve, qui lui offre une place dans son lit, Fabien finit par l'assassiner étranglée et s'installe chez elle avec sa dulcinée, sans remords et, surtout, sans que personne au village de Karnac n'ait eu connaissance du crime. Il convainc Édith que c'est pour elle qu'il a commis ce crime, qu'elle doit y voir une preuve d'amour. La fille accepte le pacte. Quand les gens du village leur demandent des comptes, ils prétendent d'une même voix que la veuve s'est noyée. Comme Fabien et Édith leur offrent d'acheter la ferme Loubron, vu que la veuve n'a pas d'héritier, les gens du village étouffent leurs soupçons. Ainsi va la vie. Bientôt Édith est enceinte. Fabien vit difficilement cette grossesse. Il est inquiet. L'enfant nait et, assez vite, ils découvrent qu'il est lourdement handicapé. Le couple se déchire. Fabien en vient à l'idée que l'enfant doit mourir. Édith se met en travers de son chemin, défend l'enfant bec et ongles. Fabien la bouscule et s'empare du bébé. Il se dirige vers le ruisseau, lentement et y plonge l'enfant...

Extrait

II s'agenouilla, posa les pieds de l'enfant sur la berge de sable doux, près de l'eau.
— Tu auras une mort douce, petit . . .
Il poussait sur le corps de l'enfant, poussait les pieds vers l'eau. Maintenant, les talons allaient rejoindre la surface, allaient se baigner dans le fluide froid.
L'enfant se raidit.
— Je te dis que ce sera une mort douée, petit. Mourir comme ça serait un bonheur. Pour toi ce sera un bonheur. Avant, après. Tellement mieux que la mort sur les pentes. Le tronc d'arbre qui vient vous fracasser, l'avalanche de pierres . . . j'ai songé à cette mort . . .
Il caressa doucement la tête du petit dont les pieds étaient dans l'eau.
Un hibou fit son chant, et Fabien entendit, tout en bas, et loin, comme des bruits de voix.
C'étaient les gens du hameau qui venaient . . .
— Tu es blond, dit Fabien, tu as les cheveux blonds. Je n'avais jamais vu comment ils étaient blonds, Et ta bouche est large. Belle et large. Une bouche à boire de la vie. Une bouche vaillante . . . Tu aurais pu goûter aux bons mets des soirs de fête.
Il eut un sanglot et ramenant l'enfant, il le serra fort contre lui.
— Si seulement, gémit-il, tu n'avais pas été ce que tu es ...
Mais il se reprit et poussa l'enfant plus avant dans l'eau, jusqu'aux genoux.
— Le moment est venu, petit. Il est presque nuit. Tu rejoindras la nuit bleue par notre nuit à nous, qui sera noire ce soir. A savoir si tu sauras reconnaître l'une de l'autre. Je te le souhaite. Ne frémis pas ainsi, l'enfant. Ne résiste pas. L'eau est froide, je le sais, mais il ne faut pas résister.
L'enfant avait peur de l'eau, et il essayait de son corps sans force de se débattre, de ne plus laisser cette eau monter, cette eau qui montait et grimpait, qui rejoignait les genoux et ensuite les cuisses, qui le mouillait jusqu'au ventre, à mesure que Fabien le descendait, le poussait vers le fond, vers la mort.
Et l'homme murmurait toujours ses paroles, en rythme doux, comme une berceuse, comme si l'enfant l'entendait, le comprenait.
Il avait des sanglots dans la voix, et deux grosses larmes lui coulaient sur les joues.
— Ton cou rosé et potelé, martelait-il entre ses dents tout à coup. Ton cou rosé et potelé, et toute ta peau fine et duveteuse. Il y a une fossette dans ton cou. Je ne l'avais jamais vue . . . Tout le corps, et puis voilà, maintenant, la tête. C'est mon adieu, petit, c'est mon adieu.
Alors, la voix lui brisa, et il s'est mis à chantonner, avec des sons qui n'étaient plus du chant, mais des pleurs . . .
— Fais dodo, l'enfant do! Fais dodo, l'enfant dormira bientôt . . .
La bouche du petit était sous l'eau, et il se déballait, il jetait ses bras vers le ciel, et il secouait ses jambes.
Il combattait la mort qui entrait en lui par cette bouche grande ouverte, buvant l'eau de la source.
Et tout à coup Fabien poussa un grand cri, et il se redressa, tenant toujours l'enfant, et il hurla, mot après cri, à faire reculer la montagne:
Non! (pages 199-201)
Donc, il n'a pas pu se résoudre à le tuer et il le ramena à Édith, sa mère.
Fabien

SALOMON


Salomon, fils de David et de Bethsabée, est un roi d'Israël selon la Bible hébraïque1 (de 970 à 931 av. J.-C. selon la chronologie biblique usuelle2). Sa sagesse et sa justice firent de lui le roi le plus sage et juste de l'Ancien Testament.


Considéré comme « Sage parmi les hommes », il se rendit populaire en début de règne par ses jugements pleins de sagesse. Il avait d'ailleurs demandé à DIEU (2° livre des Chroniques chapitre 1 verset 7 à 12 ) de le munir d'un cœur qui sache écouter. Le Premier livre des Rois (3, 16-28). Cette requête plut à DIEU, qui dit: ‘Parce que tu as demandé la sagesse et non une longue vie ni la richesse, je te donnerai une sagesse comme personne n’en a jamais eu. Et même ce que tu n’as pas demandé, je te le donnerai: et la richesse et la gloire.’ SVP, DIEU, LA LONGUE VIE AUSSI.

JACQUIE : Quelle arrogance celle de Salomon, mais assez intelligent pour se rendre compte que DIEU n'était qu'une imbécile.

À quelque temps de là, deux femmes se rendirent auprès de Salomon.

‘Nous habitons toutes deux la même maison’, lui expliqua l’une d’elles (1re femme). ‘J’ai eu un enfant et, deux jours après, elle aussi a eu un enfant. Or, une nuit, son enfant est mort étouffé. Alors elle a pris mon enfant qui était à côté de moi et a mis le sien à sa place. Quand, à mon réveil, j’ai regardé le bébé mort, ce n’était pas le mien.’

Alors l’autre femme dit (2e femme): ‘Ce n’est pas vrai! Mon enfant est celui qui est vivant!’.

Mais la première femme continuait à dire: ‘Non! ton enfant est celui qui est mort!’.

Elles se disputaient ainsi devant le roi. 

Que fit Salomon?

Le roi demanda une épée et dit: ‘Coupez en deux l’enfant vivant et donnez-en une moitié à l’une et une moitié à l’autre.’




‘Non!’ s’écria la vraie mère (1re femme), ‘ne tuez pas le bébé! Qu’on le lui donne!’

 Mais l’autre femme disait (2e femme): ‘Qu’on ne le donne à aucune de nous! Coupez-le en deux!’

Alors le roi dit: ‘Donnez l’enfant à la première femme. C’est elle, la vraie mère.’

Salomon ne se trompait pas: la vraie mère aimait tellement son bébé qu’elle consentait à le donner à l’autre femme plutôt que de le voir mourir. Quand le peuple apprit le jugement de Salomon, il se réjouit d’avoir à sa tête un tel roi. Alors « tout Israël apprit le jugement qu'avait rendu le roi, et ils vénérèrent le roi car ils virent qu'il y avait en lui une sagesse divine pour rendre la justice ». Ce célèbre épisode de la vie du Roi Salomon a donné lieu à l'expression « jugement de Salomon ».

SAGESSE: Connaissance du vrai et du bien, fondée sur la raison et sur l'expérience. Juste connaissance des choses. Un adulte est sage quand il est avisé, mesuré, réfléchi, modéré, prudent, équilibré, sérieux, raisonnable. On reconnaîtra aussi la sagesse d'une personne à l'expérience acquise, à sa capacité de discernement, à son jugement droit sur les situations de la vie.

JACQUIE : Nous avons beaucoup de chance que la loi de l'homme a quand même évolué de ce côté-là, depuis ce temps.

Aujourd'hui un enfant est considéré comme une personne dès sa naissance. C'est-à-dire qu'il a des droits.

Salomon comme Abraham a fait preuve d'insensibilité et de cruauté, mais aussi d'une arrogance meurtrière.

De plus, il manquait de discernement, d'empathie, d'objectivité, de psychologie et bien sûr de modestie.

C'est clair qu'il n'était pas un philosophe.

Le fait d'être mère ne donne pas à la femme obligatoirement de l'amour à l'égard de son enfant. D'autre part, l'inverse est aussi possible. C'est à dire, ce n'est pas nécessaire d'être parent pour avoir de la compassion à l'égard des enfants.

J'aime beaucoup cette partie : J’ai eu un enfant et, deux jours après, elle aussi a eu un enfant. Or, une nuit, son enfant est mort étouffé.

Comment cette femme a su que l'enfant était mort étouffé?

Donc, dans cette histoire on peut conclure que... aucune des deux femmes aimaient l'enfant. Salomon encore moins. Il est clair que la première femme a tué son bébé étouffé. Et que grâce à Salomon, elle a fait la même chose avec l'enfant de l'autre.



 

lundi 7 mai 2012

LES ÊTRES HUMAINS, SONT-ILS LES SEULS ANIMAUX QUI TUENT POUR LE SIMPLE PLAISIR

VOICI QUELQUES CAS DE CRIMES JUGÉS... PAS TOUT-À-FAIT ALIMENTAIRES CHEZ D'AUTRES ESPÈCES D'ANIMAUX. AVEC EUX, JE NE PRÉTENDS PAS DÉFENDRE LA BARBARIE HUMAINE, AU CONTRAIRE, MAIS METTRE DANS SONT VÉRITABLE CONTEXTE NOTRE VISION SUR LA NATURE, SI SOUVENT DÉFORMÉE.

- LES RENARDS : LES RENARDS SONT DE VÉRITABLES TUEURS EN SÉRIE DANS LE RÈGNE ANIMAL, COMME PEUVENT LE SAVOIR TOUS CEUX QUI ON DÈJÀ EU UN POULAILLER, PEUT-ÊTRE QUE LE RENARD RENTRE DANS LE POULAILLER POUR UNE POULE, MAIS IL NE SORTIRA PAS DE LÀ AVANT D'AVOIR TUÉS TOUT LE POULAILLER.


- Les lémuriens : L'infanticide stratégique est courant dans diverses espèces de primates, mais encore plus frappant dans l'un de ses ambassadeurs les plus pacifiques, le lémurien de madagascar, dont le mâle n'hésitera pas à détourner l'attention de sa partenaire afin de jeter son bébé en bas de l'arbre juste pour assurer sa propre lignée héréditaire.



- LES OURS : LE PUBLIC allemand EN 2006 A SUIVI LA PERSÉCUTION ET LA MORT DE Bruno, LE PREMIER OURS SAUVAGE À ÊTRE VU EN allemagne DEPUIS DES DÉCENNIES. COMME S'IL S'AGISSAIT D'UN CRIMINEL, L'OURS, DE DEUX ANS, A LAISSÉ DERRIÈRE LUI UNE TUERIE DE 35 MOUTONS, DES DIZAINES DE POURLES DOMESTIQUES ET DES INNOMBRABLES LAPINS. FINALEMENT, IL A ÉTÉ TUÉ PAR UN CHASSEUR. CE QUI A PROVOQUÉ LA COLÈRE DES ÉCOLOGISTES.



-orca : la baleine assassine (killer whale) pseudo qui décrit parfaitement l'essence de cette baleine qui chasse les lions marins ou les pingouins, juste pour former leurs jeunes dans l'art de la chasse comme le montre cette choquante vidéo de NATIONAL GEOGRAPHIC.







LA BEAUTÉ



BEAUTÉ: divinité, perfection, grandeur, sublimité, grâce, gracieuseté, charme, splendeur, magnifique, joli, mignon, élégance, délicatesse, attrayant, finesse...

VANITÉ : Amour-propre, autosatisfaction, égoïsme, égotisme, fatuité, fierté, gloriole, importance, jactance, prétention, présomption, orgueil, arrogance, suffisance, vantardise, suprématie.
Antonymes de vanité : humilité, modestie, simplicité??????

Pour quoi la beauté est vanité?

Manipulations malveillantes, de toute évidence, et que malheureusement souvent obtiennent les résultats escomptés. La vérité est que la beauté engendre l'envie ou la jalousie. Tous les êtres humains, même ceux qui ont des mauvais goûts, reconnaissent parfaitement ce qui est beau et parfait. Et que pour être simple, humble et modeste, on n'est pas obligé d'être laid.

MAIS...
Qui citent ce mandat? Qui sont-ils?

• Les personnes qu'au fil des années ont perdu leurs charmes
• Les personnes qui n'ont pas eu beaucoup de chance de ce côté
• Les personnes âgées qui n'aiment pas que les jeunes jouissent de leur jeunesse
• Les «croyants» qui veulent punir les « vaniteux » en demandant à DIEU de les rendre laid, gros, vieux ...
• Les mères qui inculquent à leurs fils la suprématie
• Les hommes frustrés et/ou complexés (machistes)
• Les adeptes de certaines sectes religieuses ...

LA BEAUTÉ ... La beauté est un don divin. DIEU approuve avec plaisir les personnes qui font des efforts pour garder ou pour maintenir une jeune et svelte silhouette. Cela dit, sans chirurgies plastiques.

LA VÉRITÉ SUR CAÏN ET ABEL


Genèse 4.2 Elle enfanta encore son frère Abel. Abel fut berger, et Caïn fut laboureur.

Genèse 4.3 Au bout de quelque temps, Caïn fit à l'Éternel une offrande des fruits de la terre.
Genèse 4.4 et Abel, de son côté, en fit une des premières-nées de son troupeau et de leur graisse. L'Eternel porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande. 

Genèse 4.5 mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande. Caïn fut très irrité, et son visage fut abattu.

Genèse 4.6 Et l'Éternel dit à Caïn: Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu?

Genèse 4.7 Certainement, si tu agis bien, tu relèveras ton visage, et si tu agis mal, le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi: mais toi, domine sur lui.

Genèse 4.8 Cependant, Caïn adressa la parole à son frère Abel; mais, comme ils étaient dans les champs, Caïn se jeta sur son frère Abel, et le tua.

Genèse 4.9 L'Éternel dit à Caïn: Où est ton frère Abel? Il répondit: Je ne sais pas; suis-je le gardien de mon frère?

Genèse 4.10 Et Dieu dit: Qu'as-tu fait? La voix du sang de ton frère crie de la terre jusqu'à moi.

Genèse 4.11 Maintenant, tu seras maudit de la terre qui a ouvert sa bouche pour recevoir de ta main le sang de ton frère.

Genèse 4.12 Quand tu cultiveras le sol, il ne te donnera plus sa richesse. Tu seras errant et vagabond sur la terre.

Genèse 4.13 Caïn dit à l'Éternel: Mon châtiment est trop grand pour être supporté.

Genèse 4.14  Voici, tu me chasses aujourd'hui de cette terre; je serai caché loin de ta face, je serai errant et vagabond sur la terre, et quiconque me trouvera me tuera.

Genèse 4.15 L'Éternel lui dit: Si quelqu'un tuait Caïn, Caïn serait vengé sept fois. Et l'Éternel mit un signe sur Caïn pour que quiconque le trouverait ne le tuât point.

Genèse 4.16 Puis, Caïn s'éloigna de la face de l'Éternel, et habita dans la terre de Nod, à l'orient d'Éden.

Genèse 4.17 Caïn bâtit ensuite une ville, et il donna à cette ville le nom de son fils Hénoc.

Genèse 4.25 Adam connut encore sa femme ; elle enfanta un fils, et l'appela du nom de Seth, car, dit-elle, Dieu m'a donné un autre fils à la place d'Abel, que Caïn a tué. 

DISTORSION DE LA RÉALITÉ 

Épître aux Hébreux 11.4 "C'est par la foi qu'Abel offrit a Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses offrandes; et c'est par elle qu'il parle encore, quoique mort."
Épître aux Hébreux 12.24 "de Jésus qui est le médiateur de la nouvelle alliance, et du sang de l'aspersion qui parle mieux que celui d'Abel."
Première épître de Jean 3.12 "Ne soyons pas comme Caïn : il appartenait au Mauvais et tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que les actions de Caïn étaient mauvaises, tandis que celles de son frère étaient justes." 

C'est clair que la bible encourage de tuer pour être sous les bonnes grâces de DIEU.

Pourtant DIEU a dit "TU NE TUERAS PAS".


SI ON COMPREND COMME IL FAUT CETTE HISTOIRE, Caïn AURAIT DÛ TUER UN AGNEAU OU TOUT AUTRE ANIMAL POUR ÊTRE SOUS LES BONNES GRÂCES DE DIEU. ALORS QU'IL A REFUSÉ DE TUER, DE MANGER DE LA VIANDE D'ANIMAUX OU DE BOIRE DU LAIT DE CHÈVRE. Caïn DE LOIN PRÉFÉRAIT LES FRUIT ET LES LÉGUMES QUE NOUS OFFRE LA TERRE.

IL SEMBLE ÉVIDENT QUE Caïn ÉTAIT INCAPABLE DE TUER. Caïn A ÉTÉ À TORT ACCUSÉ DE MEURTRE, CONDAMNÉ ET PUNI INJUSTEMENT POUR UN CRIME QU'IL N'A PAS COMMIS.

GRÂCE À Caïn, AUJOURD'HUI NOUS SAVONS Tous QUE RIEN NE VAUT UN BON PLEINE DES FRUITS ET DES LÉGUMES.

ET PAR RAPPORT À Abel, il EST SÛREMENT MORT DE LA maladie de crohn, maladie INFLAMMATOIRE DES INTESTINS (les produits laitiers DE SOURCE animal CE SONT DES produits ALIMENTAIRES PROPRE À son espèce).


Genèse 4.10 Et Dieu dit: Qu'as-tu fait? La voix du sang de ton frère crie de la terre jusqu'à moi.

LA NATURE HUMAINE

L'HOMME EST UN ANIMAL SOCIABLE QUI NE POURRAIT VIVRE SANS SES SEMBLABLES (ARISTOTE)


POUR QUOI? PARCE QUE...

L'ÊTRE HUMAIN, IL A BESOIN QU'ON LUI ACCORDE DE L'ATTENTION, QU'ON LUI DONNE DE L'IMPORTANCE OU DE LA RECONNAISSANCE ET PUIS SURTOUT, IL AIME SE FAIRE IDOLÂTRER. (JACQUIE29)
L'ŒUVRE DE DIEU, LA PART DU DIABLE.


LE CONCEPT DE DIEU SELON L'ÉVANGILE SAINT JEAN

Voici la vraie version du CHAPITRE VIII DE L'ÉVANGILE SELON SAINT JEAN, INEXISTANT OU PLUTÔT CHANGÉ DANS LES NOUVELLES ÉDITIONS DE LA BIBLE.

Évangile selon saint Jean
Chapitre VIII


Jn 8,1. Or Jésus se rendit sur la montagne des Oliviers.
Jn 8,2. Et, de grand matin, Il vint de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à Lui; et S'étant assis, Il les enseignait.
Jn 8,3. Alors les scribes et les pharisiens Lui amenèrent une femme surprise en adultère; et ils la placèrent au milieu de la foule.
Jn 8,4. Et ils dirent à Jésus: Maître, cette femme vient d'être surprise en adultère.
Jn 8,5. Or Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Vous donc, que dites-Vous?
Jn 8,6. Ils disaient cela pour Le tenter, afin de pouvoir L'accuser. Mais Jésus, Se baissant, écrivait avec Son doigt sur la terre.
Jn 8,7. Et comme ils persistaient à L'interroger, Jésus Se releva, et leur dit: Que celui d'entre vous qui est sans péché lui jette la pierre le premier.
Jn 8,8. Puis, Se baissant de nouveau, Il écrivait sur la terre.
Jn 8,9. Mais, ayant entendu cela, ils se retirèrent l'un après l'autre, en commençant par les plus âgés; et Jésus demeura seul avec cette femme, qui était debout au milieu.
Jn 8,10. Alors Jésus, Se relevant, lui dit: Femme, où sont ceux qui t'accusaient? Personne ne t'a-t-il condamnée?
Jn 8,11. Elle dit: Personne, Seigneur. Jésus lui dit: Moi non plus, Je ne te condamnerai pas; va, et désormais ne pèche plus.
Jn 8,12. Jésus leur parla de nouveau, en disant: Je suis la lumière du monde; celui qui Me suit ne marche pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.

Jn 8,13. Les pharisiens Lui dirent donc: Vous Vous rendez témoignage à Vous-même; Votre témoignage n'est pas vrai.

Jn 8,14. Jésus leur répondit: Quoique Je Me rende témoignage à Moi-même, Mon témoignage est vrai, car Je sais d'où Je viens, et où Je vais; mais vous, vous ne savez pas d'où Je viens, ni où Je vais.
Jn 8,15. Vous jugez selon la chair; Moi, Je ne juge personne;
Jn 8,16. et si Je juge, Mon jugement est vrai, car Je ne suis pas seul; mais Je suis avec le Père, qui M'a envoyé.
Jn 8,17. Il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai.
Jn 8,18. Or Je Me rends témoignage à Moi-même; et le Père, qui M'a envoyé, Me rend aussi témoignage.

Jn 8,19. Ils lui disaient donc: Où est votre Père? Jésus leur répondit: Vous ne connaissez ni Moi, ni Mon Père; si vous Me connaissiez, vous connaîtriez aussi Mon Père.
Jn 8,20. Jésus dit ces choses, enseignant dans le temple, au lieu où était le trésor; et personne ne L'arrêta, parce que Son heure n'était pas encore venue.
Jn 8,21. Jésus leur dit encore: Je m'en vais, et vous Me chercherez, et vous mourrez dans votre péché. Là où Je vais, vous ne pouvez venir.

Jn 8,22. Les Juifs disaient donc: Est-ce qu'Il Se tuera lui-même, puisqu'Il dit: Là où Je vais, vous ne pouvez venir?

Jn 8,23. Et Jésus leur dit: Vous, vous êtes d'en bas; Moi, Je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde; Moi, Je ne suis pas de ce monde.
Jn 8,24. Je vous ai donc dit que vous mourrez dans vos péchés; car, si vous ne croyez pas à ce que Je suis, vous mourrez dans votre péché.

Jn 8,25. Ils lui dirent donc: Qui êtes-Vous? Jésus leur répondit: Je suis le principe, Moi qui vous parle.
Jn 8,26. J'ai beaucoup de choses à dire de vous et à juger en vous. Mais celui qui M'a envoyé est véridique, et ce que J'ai appris de Lui, Je le dis dans le monde.

Jn 8,27. Ils ne comprirent pas qu'Il disait que Dieu était Son Père.

Jn 8,28. Jésus leur dit donc: Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que Je suis, et que Je ne fais rien de Moi-même, mais que Je parle selon ce que le Pére M'a enseigné.
Jn 8,29. Et celui qui M'a envoyé est avec Moi, et Il ne M'a pas laissé seul, parce que Je fais toujours ce qui Lui est agréable.

Jn 8,30. Comme Il disait ces choses, beaucoup crurent en Lui.

Jn 8,31. Jésus disait donc aux Juifs qui avaient cru en Lui: Si vous demeurez dans Ma parole, vous serez vraiment Mes disciples,
Jn 8,32. et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres.

Jn 8,33. Ils Lui répondirent: Nous sommes la postérité d'Abraham, et nous n'avons jamais été esclaves de personne; comment dites-vous: Vous serez libres?

Jn 8,34. Jésus leur répondit: En vérité, en vérité, Je vous le dis, quiconque commet le péché est esclave du péché.
Jn 8,35. Or l'esclave ne demeure pas toujours dans la maison; mais le fils y demeure toujours.
Jn 8,36. Si donc le Fils vous met en liberté, vous serez vraiment libres.
Jn 8,37. Je sais que vous êtes fils d'Abraham; mais vous cherchez à Me faire mourir, parce que Ma parole n'a pas prise sur vous.
Jn 8,38. Moi, Je dis ce que j'ai vu chez Mon Pére; et vous, vous faites ce que vous avez vu chez votre père.
Jn 8,39. Ils lui répondirent: Notre père, c'est Abraham. Jésus leur dit: Si vous êtes fils d'Abraham, faites les oeuvres d'Abraham.
Jn 8,40. Mais maintenant vous cherchez à Me faire mourir, Moi qui vous ai dit la vérité, que J'ai entendue de Dieu; cela, Abraham ne l'a pas fait.

Jn 8,41. Vous faites les oeuvres de votre père. Ils lui dirent: Nous ne sommes pas des enfants de fornication; nous avons un seul père, Dieu.

Jn 8,42. Jésus leur dit donc: Si Dieu était votre père, vous M'aimeriez, car c'est de Dieu que Je suis sorti et que Je suis venu; Je ne suis pas venu de Moi-même, mais c'est Lui qui M'a envoyé.
Jn 8,43. Pourquoi ne connaissez-vous pas Mon langage? Parce que vous ne pouvez entendre Ma parole.
Jn 8,44. Vous avez le diable pour père, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été homicide dès le commencement, et il n'est pas demeuré dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur, et père du mensonge.
Jn 8,45. Mais Moi, quand Je dis la vérité, vous ne Me croyez pas.
Jn 8,46. Qui de vous Me convaincra de pécher? Si Je vous dis la vérité, pourquoi ne Me croyez-vous pas?
Jn 8,47. Celui qui est de Dieu, écoute les paroles de Dieu. C'est pour cela que vous n'écoutez point, parce que vous n'êtes pas de Dieu.

Jn 8,48. Les Juifs Lui répondirent donc, et Lui dirent: N'avons-nous pas raison de dire que Vous êtes un Samaritain et un possédé du démon?

Jn 8,49. Jésus répondit: Je ne suis pas possédé du démon, mais J'honore Mon Père; et vous, vous Me déshonorez.
Jn 8,50. Pour Moi, Je ne cherche pas Ma propre gloire; il est Quelqu'un qui la cherche, et qui juge.
Jn 8,51. En vérité, en vérité, Je vous Le dis, si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort.

Jn 8,52. Les Juifs Lui dirent: Maintenant nous connaissons que Vous êtes possédé du démon. Abraham est mort, et les prophètes aussi; et Vous dites: Si quelqu'un garde Ma parole, il ne goûtera jamais la mort.
Jn 8,53. Etes-Vous plus grand que notre pére Abraham, qui est mort, et que les prophètes, qui sont morts aussi? Qui prétendez-Vous être?

Jn 8,54. Jésus répondit: Si Je Me glorifie Moi-même, Ma gloire n'est rien; c'est Mon Pére qui Me glorifie, Lui dont vous dites qu'Il est votre Dieu.
Jn 8,55. Et vous ne Le connaissez pas; mais Moi, Je Le connais; et si Je disais que Je ne Le connais pas, Je serais semblable à vous, un menteur. Mais Je Le connais, et Je garde Sa parole.
Jn 8,56. Abraham, votre père, a tressailli de joie, désirant voir Mon jour; il l'a vu, et il s'est réjoui.

Jn 8,57. Les Juifs lui dirent: Vous n'avez pas encore cinquante ans, et Vous avez vu Abraham?

Jn 8,58. Jésus leur dit: En vérité, en vérité, Je vous le dis, avant qu'Abraham fût, Je suis.

Jn 8,59. Ils prirent donc des pierres, pour les jeter sur Lui; mais Jésus Se cacha, et sortit du temple.

ABRAHAM


Il arriva que Dieu éprouva Abraham et lui dit : « Abraham ! Abraham ! » Il répondit : « Me voici ! » Dieu dit : « Prends ton fils, ton unique, que tu chéris, Isaac, et va-t'en au pays de Moriyya* et là tu l'offriras en holocauste sur une montagne que je t'indiquerai. » Abraham se leva tôt, sella son âne et prit avec lui deux de ses serviteurs et son fils Isaac. Il fendit le bois de l'holocauste et se mit en route pour l'endroit que Dieu lui avait dit. Le troisième jour, Abraham, levant les yeux, vit l'endroit de loin. Abraham dit à ses serviteurs : « Demeurez ici avec l'âne. 

Moi et l'enfant nous irons jusque là-bas, nous adorerons et nous reviendrons vers vous. » Abraham prit le bois de l'holocauste et le chargea sur son fils Isaac, lui-même prit en main le feu et le couteau, et ils s'en allèrent tous deux ensemble. Isaac s'adressa à son père Abraham et lui dit : « Mon père ! » Il répondit : « Oui, mon fils ! » – « Eh bien, reprit-il, voilà le feu et le bois, mais où est l'agneau pour l'holocauste ? » Abraham répondit : « C'est Dieu qui pourvoira à l'agneau pour l'holocauste, mon fils », et ils s'en allèrent tous deux ensemble. Quand ils furent arrivés à l'endroit que Dieu lui avait indiqué, Abraham y éleva l'autel et disposa le bois, puis il attacha son fils Isaac et le mit sur l'autel, par-dessus le bois. Abraham étendit la main et saisit le couteau pour égorger son fils. Mais l'Ange de Yahvé l'appela du ciel et dit : « Abraham ! Abraham ! » Il répondit : «Me voici. » L'Ange dit : « N'étends pas la main contre l'enfant ! Ne lui fais aucun mal ! Je sais maintenant que tu crains Dieu : tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique. » Abraham leva les yeux et vit un bélier, qui s'était pris les cornes dans un buisson. Abraham alla prendre le bélier et l'offrit en holocauste à la place de son fils.



SCHIZOPHRÉNIE OU DISTORSION DE LA RELIGION?

MAIS SÛR ET CERTAIN... C'EST UNE PERCEPTION ERRONÉE DU CONCEPT DE DIEU.

DIEU EST UN ÊTRE SUPRÊME.

1. DIEU N'A JAMAIS PARLÉ À PERSONNE.

2. DIEU N'A PAS PU DEMANDER À CET HUMAIN D'ATTACHER ET D'ÉGORGER SON FILS COMME PREUVE DE SOUMISSION.

CE SONT LES HUMAINS QUI FONT CE GENRE DE CHANTAGE OU DE TORTURE.

ET PIRE ENCORE LE RÉCOMPENSER POUR ÇA.

« Abraham a 99 ans, et Dieu lui propose une  alliance : Je te fructifierai beaucoup, beaucoup, tu engendreras des nations, des rois sortiront de toi ».

« Le sacrifice du fils, événement essentiel et fondateur dans l'histoire d'Abraham, constitue un épisode essentiel pour les trois religions : c'est l'acte de foi parfait demandé par Dieu à Abraham, qui lui vaut dans la Bible d'être dépositaire de l'Alliance entre l'homme et Dieu, et dans le Coran d'être le premier des musulmans, le modèle par excellence du vrai croyant, «celui qui se soumet», qui «s'abandonne» à Dieu ».??????????????????????????

MAIS, QUI ÉTAIT ABRAHAM?

ÉTAIT-IL PLUS IMPORTANT QUE SON FILS ISAAC OU MÊME QUE L'AGNEAU AUX YEUX DE DIEU?

CHAQUE VIE EST IMPORTANTE.

DIEU A DIT TU NE TUERAS PAS.

DIEU EST LE POUVOIR ABSOLU. DIEU PEUT TOUT VOIR. DIEU PEUT VOIR DANS CHAQU'UN DE NOUS.

Avoir une conscience veut dire... faire la différence entre le bien et le mal.

1) Abraham n'avait pas de conscience.
2) Abraham n'aimait pas vraiment son enfant.
3) Abraham a fait preuve de lâcheté, d'insensibilité et de cruauté.
4) Abraham s'est conduit pire que d'autres espèces d'animaux, qui eux, au contraire, protègent leurs petits.
5) Abraham simplement ne croyait pas en DIEU.

Il se peut aussi que Abraham souffrait du trouble de la personnalité narcissique.

Ou peut-être, il s'agit ici du syndrome de Münchausen par procuration, un trouble psychiatrique par lequel un adulte provoque la maladie et parfois même la mort chez des enfants sous sa garde. Cela dans le but d'obtenir de la compassion ou tout simplement d'attirer l'attention des autres. Souvent ce sont ses propres enfants ou les enfants de sa famille proche (nièce, neveu). 

Quoi qu'il en soit, c'était sûrement, ENCORE, l'œuvre du diable.
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